Je dois rêver…

13 sujets de 1 à 13 (sur un total de 13)
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  • #448968
    tractozor
    Participant

      Aujourd’hui, comme tous matins, je file au bar-tabac du coin pour les clopes, le Ouest-France et l’Equipe.

      Ainsi équipé pour une bonne journée de vacance, je remonte à l’appart et j’entame le quotidien local. Et là, en page 3, je me mets une claque, je crois rêver en lisant cet article:

      UN VENDEUR DE MINIMOTOS EN EXAMEN A LILLE

      “Le responsable d’un magasin de Tourcoing (Nord) a été mis en examen pour avoir vendu des minimotos (pocket bikes) et des petites motos de cross (dirt bikes). Depuis mars, l’importation, la vente et la location de ces engins non homologués est interdite. l’homme encourt deux ans de prison et 30 000 euros d’amende. Selon la Commission de la sécurité des consommateurs, il y aurait, en France, 40 000 de ces engins qui affichent souvent des vitesses qui dépassent 50km/h.”

      Alors, je rêve, ou j’ai loupé un épisode depuis mars???

      #1109491
      airwell
      Participant

        Pareil que vous …. j’suis surpris par cet article ???

        #1109492
        phil 440
        Participant

          Et oui, chaque jour de nouvelles lois sont votées mais peu de personnes en sont informées.

          https://www.droitautomobile.com/article-10992239.html

          #1109493
          tractozor
          Participant

            UP suite à l’accident du WE…

            #1109494
            23cm
            Participant

              C’est grave ou on vas en arriver!!!! a cause de certain

              #1109495
              janel
              Participant

                dans l’article ils parlent des motos”non réceptionnées pour un usage sur la voie publique”.mais les cross aussi seraient concernées alors?c’est complètement débile…encore une fois le législateur est à côté de ses pompes et l’objectif(qui est clairement de lutter contre les nuisances sonores)ne sera pas atteint.

                #1109496
                pastrana le lapin
                Participant

                  circulaire reçue ce jour de la FFMC, qui estime a juste titre qu il ne faut pô interdire la vente, mais la pratique sur voie publique, afin que nous puissions continuer de pratiquer sur circuits ou terrains privés.

                  merci a la FFMC de toujours monter au crénaux

                  ” 17/09/2007 16:39:00 AFP FRS0656

                  ============================================================================

                  Après l’accident de Gonesse, la sécurité des mini-motos de nouveau en débat

                  (ACTUALISATION, PAPIER GENERAL) Par Anne-Sophie MOREL =(PHOTO ARCHIVES)=

                  ATTENTION – Actualisé avec demande interdiction du maire de Gonesse ///

                  PARIS, 17 sept 2007 (AFP) – L’accident d’une mini-moto dimanche à Gonesse (Val

                  d’Oise), au cours duquel deux enfants ont été grièvement blessés, relance le débat

                  sur ces engins bon marché interdits de circulation sur la voie publique.

                  Deux frères âgés de trois et sept ans se trouvaient sur une mini-moto de

                  marque Piwi derrière une butte de terre sur un terrain où se rassemblent

                  régulièrement des conducteurs de motos, quand ils ont été percutés par un

                  quad, a précisé lundi à l’AFP Marie-Thérèse de Givry, procureur de Pontoise.

                  Les deux enfants, dont celui âgé de trois ans se trouvait dans le coma

                  dimanche soir, étaient “hors de danger” lundi matin, selon une source proche de

                  l’enquête.

                  Le conducteur d’une moto qui circulait avec le quad s’est blessé en jetant sa moto

                  par terre pour éviter de percuter les enfants, selon Mme de Givry. Interdites de

                  circulation sur la voie publique, les mini-motos sont pourtant en vente sur

                  Internet et dans des magasins de grande distribution à partir de 100 euros. Elles

                  circulent en ville, généralement le week-end, au grand dam des riverains excédés

                  par les nuisances sonores de ces deux-roues qui peuvent dépasser 50 km/h.

                  Leur usage sur la voie publique est, depuis mars 2007, passible d’une amende

                  de cinquième classe (1.500 euros, le double en cas de récidive), mais les

                  élus demandent des mesures plus fermes à leur encontre.

                  Jean-Pierre Blazy, maire (PS) de Gonesse, où les deux enfants ont été

                  blessés, a directement demandé lundi au Premier ministre François Fillon

                  l’interdiction de la commercialisation de ce type de motos “dont la dangerosité

                  est encore une fois démontrée”.

                  Dix-huit maires de villes de l’agglomération lilloise, de diverse tendances

                  politiques, avaient écrit jeudi à la ministre de l’Intérieur Michèle Alliot-Marie

                  pour l’interpeller sur les “problèmes de sécurité” et les “nuisances” causés par

                  les mini-motos et les quads, se prononçant pour “des mesures de portée générale”

                  pour des raisons “de cohérence, d’homogénéité et d’efficacité”.

                  Fin juillet, 23 maires de Seine-Saint-Denis, de droite comme de gauche, à

                  l’initiative du maire PS de Bondy, Gilbert Roger, avaient réclamé au préfet du

                  département une action plus forte de l’Etat contre ces engins très prisés

                  des enfants et jeunes, notamment dans les cités.

                  Le préfet de Seine-Saint-Denis Claude Balland tiendra lundi 24 septembre à Bobigny

                  une réunion sur les nuisances et dangers liés à l’usage de ces

                  engins.

                  La vente des mini-motos est normalement interdite depuis mars. Pourtant début

                  septembre, le responsable d’un magasin de Tourcoing (Nord), spécialisé dans les

                  deux et quatre roues, a été mis en examen à Lille pour avoir vendu des mini-motos

                  et petites motos de cross. Il encourt deux ans de prison et 30.000 euros d’amende.

                  La Fédération française des motards en colère (FFMC) a “condamné les utilisations

                  abusives des mini-motos” mais “tient à sauvegarder les droits de ceux qui

                  pratiquent légalement ce loisir, sur terrain privé ou sur circuit”.

                  Selon la FFMC, “la loi ne peut donc qu’interdire et réprimer l’utilisation de ces

                  engins sur la voie publique, mais en aucun cas prohiber leur vente”.

                  #1109497
                  janel
                  Participant

                    bravo la ffmc!

                    #1109498
                    marcomoto
                    Participant

                      https://www.motomag.com/spip/La-mini-moto-pour-cible-gare-a-la-1765.html

                      La mini moto pour cible : gare à la confusion des genres :

                      Par Grégoire Acerra, le 19 septembre 2007 :

                      L’accident impliquant une mini moto, survenu le dimanche 16 septembre 2007, à Gonesse (Val-d’Oise), et qui a fait deux très jeunes blessés, alimente l’inquiétude suscitée par ces engins, qui animent régulièrement les unes de l’actualité et des rubriques faits-divers ces dernières semaines. Problème, une méconnaissance du sujet, de la part des élus comme de la presse généraliste, entretient le flou concernant la législation qui encadre l’utilisation de ces engins, qui ne sont pas tous à mettre dans le même panier.

                      Méconnaissance juridique et mauvais scoop :

                      Depuis le week-end dernier, articles de presse et sujets télévisés concernant l’accident dont il est ici question sont légion. Dimanche 17 septembre, la police indiquait à la presse que les enfants de 3 et 7 ans avaient été renversés et grièvement blessés par une mini moto. Le lendemain, Marie-Thérèse de Givry, procureur de Pontoise, corrigeait le tir en précisant que les enfants circulaient eux-mêmes sur l’engin, sur un terrain privé, et qu’ils avaient été percutés par un conducteur de quad, qui a pris la fuite.

                      Mais la confusion ne s’arrête pas à une information erronée trop rapidement diffusée. Faute de connaissance suffisante, certains journalistes, cédant aux sirènes d’un certain clientélisme sécuritaire, distillent une contre information sur le sujet. On pouvait par exemple lire dans Le Figaro du 17 septembre, qui reprend une dépêche AFP, que « la vente [des mini motos] est normalement interdite depuis mars ». Faux. On pouvait encore lire ailleurs que leur circulation sur la voie publique était interdite depuis la même date. Pas tout à fait exact.

                      En mars, avec l’application du projet de loi sur la délinquance, ce sont les sanctions pour l’utilisation sur la voie publique des engins incriminés qui ont été a alourdies. Désormais, le contrevenant risque une amende de 1500 € (majorée à 3000 € en cas de récidive) et la confiscation du véhicule. Et la circulation sur la voie publique de ces machines a toujours été interdite, puisqu’un véhicule terrestre à moteur thermique non homologué ne peut le faire. Et les mini motos, à de rares exceptions près, ne sont pas homologuées.

                      Ne pas se tromper de cible :

                      Notons que certains élus locaux, aussi peu au fait que les journalistes auxquels nous faisons allusion, n’aident pas le public à comprendre la réglementation qui encadre l’utilisation des engins incriminés. D’aucuns réclament que leur commercialisation soit purement et simplement interdite, mais d’autres affirment de manière erronée que c’est déjà le cas.

                      Surtout, en termes de communication auprès du public, la distinction des genres n’est que très rarement effectuée. Or, comme le rappelle la FFMC (Fédération française des motards en colère) dans un communiqué à paraître très prochainement, il existe deux types de mini motos :

                      les petites motos spécialement conçues pour initier les plus jeunes à la pratique du deux-roues motorisés et à la sécurité routière dans des centres et avec un encadrement approprié ;

                      les répliques grossières de motos de course « made in China » vendues en grande surface ou sur Internet contre une poignée d’euros et qui sont, elles, en théorie exclusivement réservées aux adultes. Celles-ci, ne brillant ni par leur conception ni par leur fiabilité, peuvent de fait s’avérer dangereuses.

                      Appliquer la législation existante :

                      Et l’association de motards de réagir aux demandes de certains maires : « Le seul point commun entre ces deux « mini » motos est qu’elles ne sont pas homologuées et ne peuvent donc pas rouler sur la voie publique. Interdire la vente de l’une aboutirait à interdire la vente de l’autre et serait fort préjudiciable pour tous. » Rappelons, de concert avec la FFMC, que c’est l’usage non approprié des mini motos qui pose problème, et que des lois qui sanctionnent sévèrement leur utilisation sur la voie publique existent déjà.

                      « Avant d’exiger de nouvelles lois à chaque fait divers, appliquons celles qui existent. Incapables de gérer une situation qui les dépasse, les pouvoirs publics veulent bannir une pratique nuisible au lieu d’encourager un sport en créant des structures adaptées », conclut la FFMC.

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                      19 septembre 2007, par RICHARD

                      Dans cette affaire les vrais questions devraient etre :

                      1) un enfant de trois ans a t’il sa place sur une mini moto ?

                      2) mini moto et quad utilisés à titre de loisir ont -ils leur place dans le milieu urbain (en clair, les espaces verts d’une cité sont-ils adaptés pour recevoir les évolutions des engins motorisés ?) ?

                      Mais la presse traite le sujet d’une manière tout autre : la dangerosité des engins. Ca ne vous rappelle rien ? Mais, c’est ! bien ssssssûr ! Les motorisés dangereux sur les chemins.. Et puis Coco, vaut vendre du papier, meme si il est couvert de merde – car il faut bien le reconnaitre, de plus en plus, la presse – écrite plus particulièrement, qui ne sait pas quoi faire devant la déferlante internet, ne sait tremper sa plume que dans la merde. Et nous sommes de bon clients ! Dénigrer les motorisés, ça plait au lectorat basique/neuneu – bien vacciné le dimanche par les escrols lors des sorties basket blanches et gros mollets. Et tout y passe, y compris la démagogie et les accusations ehontées : exemple de la façon de traiter un accident de la circulation entre une voiture et un piéton – si c’est une plate le plumitif écrira “un vehicule, dont le conducteur a perdu le controle…” si c’est un 4X4 “un 4X4 monstrueux et pollueur écrase sauvagemment un paisible marcheur qui déambulait sur le trottoir” Faut vendre Coco, faut vendre !Alors dans cette affaire de Gonesse, vous imaginez la trique d’ane des redac chefs : putain Coco, une mini-moto et un quad ! Et surtout faut pas parler du manque de sructures pour accueillir les pratiquants, le manque de formation, le manque d’encadrement des loisirs motorisés, c’est les machines les coupables !D’ailleurs, je pense qu’ils n’ont meme vu que la mini-moto etait conduite par un chimpanzé que sont petit maitre de 3 ans tenait en laisse, et que le quad était conduit par Babar…

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                      19 septembre 2007, par Dragmath :

                      Le nombre de “pocket” ou “dirt” a vendre d’occaze sur le net est impressionnant. Et ce sont bien des objets destinés aux adultes et non aux enfants, car cylindrée supérieur à 50. Alors que des crétins roulent en ville avec, sans casque, ni immatriculation, ni assurance, ni rien n’est pas étonnant. Il suffirait de légiférer pour interdire la vente de ces merdes Made in China. Mais d’une part personne ne va oser s’attaquer à la grande distribution, car ceux-là financent les partis politiques…Et d’autre part personne ne va oser interdire l’importation d’objets Made in China même super dangereux, car il ne faut pas froisser un partenaire commercial qui achete des avions et des centrales nucléaires (pour mieux nous les revendre dans 10 ans). Pareil avec les jouets, la bouffe, les vétements, la pharmacie…BOYCOTT ! Soyez des consommateurs avisés, et non pas des con-sommateurs. ·

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                      19 septembre 2007 :

                      Salut,Le problème de l’interdiction des merdes chinoises est bien expliqué dans cet article : ça amènerait à l’interdiction de la vente de toute machine non homloguée, dont les motos prévues pour l’initiation des gamins, que ce soit pour le sport ou la simple approche de la maîtrise d’un deux-roues… Et qu’adviendrait-il des motos de cross, certains enduro ou trial non homologués… elles non plus non homologuées ?!!Comme le dit si bien la FFMC, il faut arrêter de vouloir légiférer à chaque fait divers. Des lois existent déjà pour réglementer la circulation des engins non homologués, qu’on les applique déjà !Un truc en revanche sur lequel je te rejoins partiellement, c’est le sort des grandes surfaces qui vendent ces merdes, au rayon jouet en plus ! Un motociste vient de se faire aligner pour avoir vendu une (ou des) mini moto(s), selon la loi sur la délinquance, qui normalement vise les vendeurs de motos modifiées (à commencer par le débridage). Mais put…, lui, normalement, connaît ce qu’il vend et n’est pas responsable de ce que font les acheteurs, qu’il peut (et doit) conseiller.Essayez un peu de voir comment ça se déroule chez Carrefour ou Auchan, demandez des renseignements aux vendeurs sur la manière dont on peut utiliser ces engins… j’ai déjà essayé pour voir, les réponses des vendeurs (qui seraient tout aussi “compétents” au rayon fournitures scolaires) sont affligeantes : ils ne connaissent évidemment rien la en matière. Ni sur les conditions d’utilisation, ni sur la qualité des machines vendues, ni sur l’entretien… quant au SAV, n’en parlons même pas (sans compter que là, c’est secondaire).

                      __________________________

                      JE REPLACE car EX-CEL-LENT =>

                      « Avant d’exiger de nouvelles lois à chaque fait divers, appliquons celles qui existent. Incapables de gérer une situation qui les dépasse, les pouvoirs publics veulent bannir une pratique nuisible au lieu d’encourager un sport en créant des structures adaptées », conclut la FFMC.”

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                      Ravi d’ avoir repris ma Carte d’ Adhérent cette année.

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                      Que la Nuit vous soit belle.

                      #1109499
                      marcomoto
                      Participant

                        Pffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff…

                        #1109500
                        lent’arteur
                        Participant

                          + 100 !!!…

                          Pas de discrimination route/terre chez eux … Seulement l’esprit motard à 200%.

                          #1109501
                          marcomoto
                          Participant

                            FFM – FFMC – CODEVER => main ds la main ! ! !

                            _________________________

                            Mini-motos : attention à l’amalgame :

                            News nationale du 21/09/2007 :

                            Le Codever condamne fermement l’usage des engins à moteur non-homologués sur les voies publiques. Nous rappelons que leur emploi est strictement réservé aux circuits et terrains privés et aménagés à cet effet.

                            Un contexte difficile.

                            Deux jeunes enfants (3 et 7 ans) circulant sur une mini-moto ont été heurtés par un quad, le dimanche 16 septembre dans un terrain vague à Gonesse (95). Un accident qui aurait pu avoir des conséquences dramatiques. Heureusement, les enfants sont dorénavant hors de danger. Confrontés depuis plusieurs mois à des usages abusifs et dangereux, des maires de villes de banlieue parisienne sont partis en croisade contre les mini-motos, réclamant l’arrêt de leur commercialisation. D’autres prétendent que celle-ci est déjà interdite. D’ailleurs, quelques jours plus tôt, un motociste de Tourcoing était mis en examen pour avoir vendu une mini-moto. Une réglementation déjà suffisante mais peu appliquéeOr, la vente de ces engins à moteur non-homologués est possible tant qu’ils restent destinés à un usage sportif (notamment pour l’entraînement ou la compétition). Le vendeur doit impérativement informer l’acheteur que l’usage du véhicule est interdit sur la voie publique. A ce sujet, la législation a toujours été limpide : l’usage d’engins motorisés non-homologués – mini ou pas – est strictement interdit sur les voies ouvertes à la circulation publique. Depuis mars 2007, les sanctions ont été alourdies : amende de 1500 € (3000 en cas de récidive) et confiscation du véhicule. Malheureusement, les pouvoirs publics ne font que trop rarement respecter cette réglementation, notamment dans les cités, ce qui pose un réel problème de sécurité publique. On retrouve aussi parfois ces mini-motos ou ces quads non-homologués sur les chemins, générant de fortes nuisances sonores et entraînant le mécontentement des riverains et des promeneurs. Une polémique inappropriéeEn effet, on s’interroge : que faisaient ces deux jeunes enfants sur une mini-moto, dans un terrain vague et sans la surveillance d’adultes ? Nous sommes ici à mille lieues d’une utilisation normale, à savoir l’initiation des plus jeunes au sport moto, encadrée par des adultes et sur des terrains spécialement prévus à cet effet. Il convient donc bien de sanctionner l’usage inapproprié et non la vente. Car devant la complexité prévisible d’une telle mesure, l’interdiction pure et simple de la commercialisation pourrait toucher tous les 2 roues et 4 roues à moteur non-homologués. C’est oublier un peu vite que des dizaines de milliers de pilotes, jeunes et moins jeunes, les utilisent pour le loisir sportif, l’entraînement ou la compétition chaque week-end sur les circuits, dans des conditions tout à fait légales. Mini-moto ou jouet dangereux ?

                            Ne pas confondre…

                            • Les mini-motos pour l’initiation des enfants sont conçues par des constructeurs reconnus et fabriquées suivant des normes et des critères de qualité élevés. Elles coûtent quelques milliers d’euros.

                            • Les mini-motos que l’on trouve en vente sur internet et dans les grandes surfaces à partir d’une centaine d’euros. Très bruyantes, de conception souvent douteuse et d’une fiabilité hasardeuse, les parents les considèrent parfois – à tort – comme des jouets pour les enfants. Il n’en est rien, puisqu’elles permettent souvent d’atteindre les 50 km/h ! Leur usage doit être exclusivement réservé aux adultes. Et dans tous les cas, ne pas oublier l’assurance.

                            https://www.codever.fr/news/files/99COM_20070921_Mini-motos.pdf

                            Vous pouvez réagir dans le forum en cliquant sur ce lien :

                            https://www.codever.fr/forum/index.php?showtopic=1409&pid=11390&st=20&#entry11390

                            [email protected]

                            http://www.codever.fr

                            http://www.observatoire-chemins.org

                            ___________________

                            Que la Vie vous soit belle.

                            #1109502
                            pastrana le lapin
                            Participant

                              suite du feuilleton FFMC :

                              ps: rendez leur visite au salon de la moto et remerciez les …

                              “Communiqué du 20 septembre 2007

                              Haro sur les mini motos : gare à la fausse information !

                              Depuis plusieurs semaines, les mini motos monopolisent l’actualité et la rubrique des faits divers.

                              Pointées du doigt, les mini motos semblent être devenues le fléau à éradiquer à tout prix.

                              Les maires de certaines communes réclament que la commercialisation de ces engins soit purement et simplement interdite. Certains affirment de manière erronée que c’est déjà le cas.

                              Le week end dernier, l’accident de Gonesse a relancé la polémique.

                              Il ne faut toutefois pas céder à l’amalgame et mettre toutes les mini motos dans le même panier.

                              Il existe deux types de mini motos :

                              • les petites motos spécialement conçues pour initier les plus jeunes à la pratique du deux roues motorisés et à la sécurité routière dans des centres appropriés ;

                              • les répliques grossières de motos de course « made in China » vendues en grande surface contre une poignée d’euros et qui sont, elles, exclusivement réservées aux adultes.

                              Le seul point commun entre ces deux « mini » motos est qu’elles ne sont pas homologuées et ne peuvent donc pas rouler sur la voie publique.

                              Interdire la vente de l’une aboutirait à interdire la vente de l’autre et serait fort préjudiciable pour tous.

                              La FFMC rappelle aux pouvoirs publics que les lois existent déjà et sanctionnent sévèrement l’utilisation des mini motos sur la voie publique.

                              Car c’est bien l’utilisation non appropriée de ces engins qui pose problème.

                              Avant d’exiger de nouvelles lois à chaque fait divers, appliquons celles qui existent.

                              Incapables de gérer une situation qui les dépasse, les pouvoirs publics, sous couvert de bannir une pratique nuisible, risquent de porter un coup fatal à un sport mécanique. La FFMC les appelle plutôt à l’encourager en créant des structures adaptées.

                              Contact presse : Eric Thiollier (01.48.18.12.15) “

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